Voilà, je termine ici ce blog. J'ai atteint la limite autorisée de mémoire photos. C'est donc jour de transhumance.
Vous pouvez continuer à me suivre ici.
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Les toits très pentus, avec leurs nombreuses lucarnes sont remarquables. Ils abritaient des greniers.
Une dernière photo prise par A. avant de reprendre le TGV pour Paris et dire aurevoir à Strasbourg.
Dans les guides, cette église protestante m'attirait. Une curiosité de l'histoire fascinante.
Pour contenter protestants et catholiques en 1682, Louis XIV n'avait rien trouvé de mieux que partager l'église en deux, le choeur aux catholiques, la nef aux protestants. Cela perdura deux siècles jusqu'à ce que les allemands fassent construire une église catholique.
Il reste encore de nombreuses peintures à l'huile sur le jubé et en bas de la nef. Elles ont besoin d'être restaurées.
Par une petite porte, il est possible d'accéder au cloitre.
Les trois galeries romanes datent du XIème siècle.
Quand à la galerie gothique, elle date du XIV ème siècle avec des pierres tombales au sol.
Entraîné par un ami facebook d'E., nous sommes allés sur la place Kléber,
dans le batiment de l'Aubette. Ici , le ciné-bal conçu par Theo van Doesburg en collaboration avec Jean Arp.
En façe, le foyer bar et la salle des fêtes des années 20 abritent des sculptures modernes.
Ce matin là, go pour le musée d'art moderne et contemporain MAMC. Sur le toit du musée, se trouve une sculpture de Mimmo Paladino, représentant un cheval à la tête dorée.
A l'étage derrière les vitres, se dessine la cathédrale.
Les façades sont colorées.
Du bleu, du marron
et de l'ocre.
Les ponts initialement en bois étaient couverts autrefois. Susbsistent encore trois tours qui participaient à la défense de la ville.
A l'arrière un barrage contruit d'après les plans de Vauban a été érigé pour innonder l'arrière pays et renforcer le système de défense de la ville.
Il est même possible de grimper sur la terrasse du barrage
et avoir une vue panoramique sur Strasbourg. Ci dessus, à gauche une prison de femmes abrite aujourd'hui l'ENA.
Des statues et des gargouilles de la cathédrale sont entreposées à l'intérieur du barrage.
Le lendemain, nous y retournons.
Le nom de petite France vient du fait que dans ce quartier, un hospice accueillait les personnes atteintes de syphilis, le "mal français".
Partout des maisons à colombages et de jolies enseignes.
Après le diner, je ne peux pas m'empêcher d'entraîner tout le monde vers la petite France. Ce quartier avec des maisons à colombages organisé autour de l'eau est propice à la promenade.
Et moi confiante en la météo n'ai pas pris d'imper, alors je suis bien contente d'enfiler le coupe vent de l'aîné.
Le premier après-midi, nous arpentons le centre ville.
Ce qui nous frappe, c'est le calme, peu de bruit car peu de voitures en centre ville et bien sur une grande place est donnée aux vélos. Là- bas, le service de location de vélos, c'est le velhop.