C'est en se promenant dans les rues de Honfleur que nous sommes tombés sur de nombreux chapeaux. Cet hiver, j'avais cherché un chapeau pour lui mais en vain. Voilà qui est réparé.
C'est en se promenant dans les rues de Honfleur que nous sommes tombés sur de nombreux chapeaux. Cet hiver, j'avais cherché un chapeau pour lui mais en vain. Voilà qui est réparé.
Nous avons roulé jusqu'à Honfleur. Il faisait frais mais le soleil était là après notre déjeuner tardif. Difficile de trouver une table en ce dimanche de Pâques et premier week-end où le soleil daigne se montrer.
C'est une église très dépouillée, éclairées par d'étroites fenêtres qui n'existaient pas dans la grange d'origine. La charpente datant du XVème siècle est impressionnante.
Des cordes délimitent les parties réservées aux moines et celles réservées au public. Nous avons vu les moines avancer en procession jusque dans le choeur pour célébrer la messe de Pâques. L'office la majeure partie du temps a été chanté en grégorien.
C'est ce matin là que mon cousin a perdu accidentellement la vie.
De bon matin, nous voilà partis pour les boucles de la Seine normande. Chut, nous entrons dans la zone de silence de l'abbaye de Saint Wandrille.
D'abord une petite chapelle et deux rangées de pierres tombales qui sont, je présume celles de moines bénédictins de cette abbaye.
En face, se trouve la nouvelle église abbatiale dont la construction a été effectuée à partir d'une grange seigneuriale du XIIIème siècle démolie puis transportée dans l'enceinte de l'abbaye.
Près de la gare Brotteaux, un parc a été récemment aménagé au dessus du parking qui a abrité notre voiture.
Je prends des vues de chaque côté du pont au dessus du Rhône.
Je n'ai pas poursuivi derrière l'opéra jusqu'à la Saône.
A proximité de la Basilique de Fourvière, une tour rappelle étrangement celle d'Eiffel à Paris. Construite pour l'exposition universelle de Lyon en 1894, elle sert aujourd'hui d'antenne relais radio et télévision. Elle culmine à 372 mètres.
Après l'Isère, nous avons fait une halte à Lyon. Une soirée agréable chez des amis, anciens voisins fraichement installés là-bas. Dimanche matin, de bonne heure, je suis partie en direction du Rhône.
Je fus récompensée par cette vision au loin de Notre Dame de Fourvière et du soleil dans les fenêtres des bâtisses.
La station des deux Alpes nous est apparu immense et sans caractère.
Mais le village de Venosc tout en bas à 1000 mètres, lui était charmant. C'est là, dans ce chalet que nous séjournions. La télécabine de Venosc nous emmenait aux Deux Alpes en à peine dix minutes. Cela nous a permis de ne pas prendre la voiture pendant une semaine.
De nombreux artisans sont installés dans le village : travail du cuir, bijoux, poterie. Les devantures sont joliment décorées. Des sautoirs, des bijoux, des habits de poupée, du travail fait main.
Quand à l'été, c'est très touristique et les artisans arrivent à vivre de leur travail.
Le crumble si cher à D. nous fut servi à plusieurs reprises. Pommes coupées en morceaux et parsemées de groseilles pour donner un peu d'acidité. Les proportions sont : 125 g de beurre, 125 g de sucre et 175 g de farine.