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A Belcastel, tout est beau. On y admire les toitures de lauzes. 
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Voyages - France
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Belcastel signifie beau château. C'est Fernand Pouillon qui l'a restauré en respectant son architecture d'origine. En Aveyron, se trouve ce beau village. 
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24 mai 2009
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La veste qu'il porte est un reste de l'armée, je crois. Elle est solide, pas salissante. En patois, on dit "la gilette". Manque l'accent. La plupart du temps, il porte le béret. Le béret comme un militaire.
L'hiver, c'est la casquette qui protège les oreilles du froid. L'été, le chapeau qui protège des coups de soleil. Bref, chapeauté en toute circonstances météo. Attention, à l'intérieur, point de béret, point de casquette.
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La petite famille
23 mai 2009
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Arts - lectures
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près du yatch club. Cet été, Museau souriant et Petit justicier iront s'initier à la voile. 
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23 mai 2009
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où il aimerait habiter. Dommage que ce soit à 9 heures de routes de l'Auvergne.
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23 mai 2009
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Sacrée occupation de tous les mois de février. En effet beaucoup d'amateurs et de restaurateurs recherchent ce met.
Reste de la ferme : les seaux de granulés qui sont reconvertis en seau à tout faire : pour faire tremper le linge, l'étendre, arroser, porter le bois, rassembler les épluchures de légumes .... La liste est incomplète, j'en suis persuadée.
Février 2009 à Maurs
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La petite famille
23 mai 2009
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C'était mon grand oncle, le mari de la grande soeur de mon grand père paternel. Jeune, il avait "enlevé" ma grande tante. La majorité était à 21 ans. Trop impatient de vivre avec elle. Sans doute difficile de subir le courroux de mon arrière grand-mère ou de mon grand père l'aîné. Ils étaient partis à la capitale en bons bougnats lui serveur, elle servante.
Ils sont devenus cafetier, restaurateur. L'épi d'Or, c'était leur café. Rue Jean Jacques Rousseau à Paris.
J'y suis revenue avec mon père, il y a une dizaine d'années. Cela s'appelait encore L'épi d'Or. Mon père y a retrouvé les coquelicots peints sur les murs, le bar quasi identique. Ma grande tante m'avait offert un jour comme un trésor un menu de l'époque. Le prix des couverts y était indiqué car ils n'étaient pas comptés dans le service.
Ce grand oncle, je l'aimais beaucoup, toujours discret. Il avait sans doute trop souffert. Pudique. Il avait connu la seconde guerre mondiale alors qu'il était à Paris, faisait des allées et venues en Auvergne. Il avait subi le STO, s'était évadé par 2 fois.
Il aimait pêcher. Parfois, nous le retrouvions près de l'étang et il nous enseignait le silence.
Lorsqu'il est mort d'une "congestion cérébrale" (c'est ainsi qu'à la campagne, on nommait tout accident vasculaire cérébral), mon plus jeune frère à l'annonce officielle de son décès à table, en famille s'est écrié : "Mais alors il ne nous portera plus de fraises !".
Les aînés ne pouvions nous empêcher de sourire avec les larmes aux yeux car il était bel et bien mort. Et les fraises nous parraissaient soudain menus plaisirs.
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La grande famille
23 mai 2009
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Ces motifs en bois peints sont un hommage à Saint Cornély,
réputé pour guérir les bêtes à cornes. Un artiste de Pontivy aidé de son fils les a peint.
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Voyages - France
23 mai 2009
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Au milieu de la ria d'Etel près de la chapelle,
je crois que cela s'appelle un calvaire. 
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