Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
17 mars 2010 3 17 /03 /mars /2010 11:15
 l-open-space-m-a-tuer couvlopenspace ma tuer-021dc-copie-1 Ca y est : vendredi je vais découvrir le nouvel endroit ou je travaillerais dès lundi. Il s'agit d'un open space.
Adieu les cloisons. Seuls les grands chefs auront droit à un bureau fermé aux vitres transparentes.
Les autres, nous devrons nous contenter d'une chaise sans accoudoirs et d'une table bien souvent commune
pour deux ou quatre.
La décoration et les touches personnelles sont malvenues.

Au lieu d'un bureau personnel (un à quatre salariés), nous aurons des box
pour nous isoler ou nous réunir à deux ou trois. Je vous promets, des boxs c'est ainsi qu'on les appelle.
Bref une autre façon de travailler.


Ce que je crains le plus, outre la promiscuité, c'est le bruit et la pollution visuelle. Pour éviter cela, nous aurons à notre disposition une messagerie instantée style msn en plus du téléphone et du mail. Cela doit nous éviter de nous déplacer pour un rien. Bref les canaux de communication ne manqueront pas. Il va falloir faire le tri et parfois se discipliner pour faire abstraction de tous ces messages divers et variés afin d'avancer dans son travail. Peut-être faudra-t-il se munir d'un casque de protection à l'image de ceux utilisés sur les chantiers pour s'isoler virtuellement ?


La communication nous assure-t-on sera plus facile. Rien n'est moins sur puisqu'il faudra s'isoler dans un box ou une salle de réunion pour ne pas déranger tout le monde.
Il s'agit surtout d'une histoire d'argent : il est moins cher de créer un open space que de mettre des bureaux à disposition des salariés. On gagne de la place et donc on fait des économies.
Mais quel est le réel retour sur investissement de l'open space  ?

Je vous conseille la lecture de "l'open space m'a tuer" .
Partager cet article
Repost0
22 septembre 2009 2 22 /09 /septembre /2009 19:59

aujourd'hui. Il fait très doux.

Partager cet article
Repost0
3 septembre 2009 4 03 /09 /septembre /2009 20:28

Ca y est, l'aîné est rentré hier au collège. Heureux de retrouver ses copains. Ouf, il a l'un d'eux dans sa classe. Donc nous avons du plier les nouveaux livres. Je me suis dit que ce serait bien qu'il commence à le faire seul. Je lui ai montré et il en a fait quelques uns sans rechigner. Mais cette année, il n'y a qu'un seul jeu de livres par élève (ce privilège est réservé aux 6èmes). Il devra les apporter avant chaque cours et le cartable sera plus lourd.

Le plus jeune est rentré ce matin. Pour lui, rien d'inconnu. Il savait déjà le nom de ses maîtresses (deux cette année !). Il connaissait la composition de la classe. Malgré ce terrain connu, il avouait sur le chemin de l'école ressentir un petit pincement au coeur.

L'aîné n'avait pas cours aujourd'hui. Nous avons donc passé une journée calme en tête à tête. Ballade au parc du Luxembourg. Déjeuner dans une brasserie. Nous avons entrechoqué nos verres d' eau pétillante "à la tranquillité" m'a-t-il dit.

Partager cet article
Repost0
26 juin 2009 5 26 /06 /juin /2009 21:33

Donne
Ca y est, les cahiers d'école vont pouvoir être rangés. Les livres de l'année terminée sont déjà vendus, ceux de l'année prochaine achetés. Je vais conserver toutes les feuilles blanches des cahiers non terminés.

Plus besoin de vérifier les cartables. Plus besoin de signer carnets et petits mots.
Je me sens légère, légère.

Deux mois, oui deux mois. Hip hip hip hourra !


Partager cet article
Repost0
25 juin 2009 4 25 /06 /juin /2009 20:42

Lors du colloque sur La parentalité à l'épreuve de la pratique , j'ai beaucoup apprécié l'intervention du professeur Philippe Jeammet et celle du philosophe Pierre Henri Tavoillot. Ils ont défini la parentalité : être attentif aux enfants, aider des jeunes à rentrer dans la vie, leur mettre le pied à l'étrier sans autre gratification que le plaisir d'être adulte. Ce n'est pas exercer une supériorité de domination mais se rapprocher d'un idéal de responsabilité : finalement exercer pleinement sa fonction d'adulte. Pas réservé aux seuls parents.
Ne jamais faire porter le choix par l'enfant.
Etait souligné que la difficulté réside souvent dans le fait que les parents n'ont pas toujours la disponibilité psychique requise.
Trop préoccupés par leur propre quotidien, souvent perçus par les enfants comme n'ayant jamais le temps pour eux.


Beaucoup de professionnels dans la salle. Une conseillère conjugale à ma gauche et une autre à ma droite. Tables rondes interessantes mais parfois loin de mes propres préoccupations. L'aspect sociologique, la coparentalité dans le cas des familles recomposées. Les exemples concrets des écoutants du plateau parents, (service de téléphonie sociale) étaient riches d'enseignement et parfois bien tristes.

mais aussi redécouverte d'un beau quartier de Paris sous le soleil, le 7ème arrondissement près de l'Unesco. Un autre rythme qu'une journée de travail. Bien agréable.

Ce que j'en conclu : les débats animés par l'Ecole des parents me plaisent davantage car plus ciblés sur une problématique précise.

Partager cet article
Repost0