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13 août 2010 5 13 /08 /août /2010 15:30

Journée mémorable : le repas d'anniversaire initialement prévu en comité réduit (enfants et petits-enfants) a finalement eu lieu avec les cousins et petits-cousins et les anciens voisins. Nous étions 78 participants. 


C'étaient les 70 printemps de mon père que nous fêtions. 

 

Bon nombre de cousins ont été ravis d'avoir mon coup de fil et ont répondu par l'affirmative pour la plupart d'entre eux immédiatement. 

 

J'ai loué une salle des fêtes avec la vaisselle qui va avec, le mobilier (à ma grande suprise, des tables rondes au lieu des rectangulaires ont pu être mises à notre disposition), loué une sono, pris les services d'un restaurateur qui a fait office de traiteur, acheté les vins et le champagne.

 

Mon petit frère s'était chargé du carton individuel à poser sur la table. Il s'était procuré avec mes autres frères des branches d'arbres. Chaque table avait un son arbre, celle de mes parents bien sur était ornée de chataîgners.

 

table chataigner 

Cette belle journée avait commencé par un apéritif et nous l'avons clôturé par un ballade dans les prés et les champs à la ferme autour d'un verre et de brochettes de fruits confectionnées avec amour par la soeur de mon père.

 

Bref, cela restera un très beau souvenir pour les anciens comme pour les jeunes et les plus jeunes.

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2 août 2010 1 02 /08 /août /2010 21:42

Impatiente : je le suis beaucoup ces temps ci après cette étape de décompensation/décompression. Ca y est, je peux enfin sereine commencer mes vacances.

 

Impératif de commander le menu auprès du restaurant et réserver la salle pour le repas d'anniversaire de mon papa.


Imbiber les salicornes de vinaigre : j'en ai préparées ce soir comme condiments dans du vinaigre. A ne déguster que dans trois jours minimum. Les autres seront servies demain comme des légumes en accopagnement des filets de merlan.

 

Illustrations, images : l'aîné dévore les malabars, le second collectionne les tatouages sur sa peau. Il aime ainsi bomber le torse.

 

P1090441  Sur la plage de Ti Bihan, le jeune "médaillé" Aout 2010.

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1 août 2010 7 01 /08 /août /2010 13:41

Hip Hip Hip Hourra  : bientôt nous allons fêter les 70 ans de mon père. Ca y est, tout est lancé. Finalement ce sera différent de ce que nous pensions faire il y a 3 semaines avec ma belle soeur. Les choses ont bougé un peu chaque jour. Ce soir, nous en sommes là : apéritif et repas dans la salle polyvalente du village. J'ai réservé cette salle car le restaurant ne permettait pas d'accueillir tout le monde dans la même salle. Et puis ce n'est pas drôle si nous organisons des choses et que seule une moitié participe. Les invités : toujours le même noyau initialement prévu mais avec quelques surprises. Je n'en dirais pas plus sinon il ne s'agit plus de surprises...   Mon petit frère prend en charge la confection des cartons. Faut trouver quelques photos sympas de mon père. En attendant, voici une photo de deux de ses petits-enfants, les plus grands.

 

P1090397

Photo prise à notre arrivée en Bretagne par la tata des ouistitis.
 

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31 juillet 2010 6 31 /07 /juillet /2010 18:45

l'initiale de mon nom de jeune fille. Ce nom de famille est très peu répandu. Arrivée à l'âge de vingt ans dans la capitale avec ma valise en plastique. Non, je ne vais pas faire la Cosette, je ne suis pas Linda de Suza et sa valise en carton.

Mon nom, il était perçu à consonnances polonaises. Je n'avais pourtant que des racines bien ancrées dans la France profonde avec ce nom qui se termine en ac pour aqua. Sans doute un nom de lieu dit près d'un cours d'eau qui donna naissance à mon nom de famille. Au début, à Paris, je ne comprenais pourquoi je restais incomprise lorsque je demandais une chocolatine. C'est spécifique au Sud Ouest. Bon nombre des mes ami(e)s de primaire sont partis faire leurs études à Toulouse, moi je suis partie au Nord à Clermont-Ferrand. Revenons aux patisseries,  ici on dit "pain au chocolat". 

 

Grave erreur au travail : j'ai cédé a la facilité et un jour j'ai répondu par la bise à un homme me tendant sa joue. J'avais réussi à établir une distance en déjà ne faisant jamais la bise aux prestataires profitant d'une nouvelle prise de fonction et en la réservant aux permanents de confiance. Mais petit à petit, au fil des années, deux ou trois personnes me l'ont faite. Il faut dire que je les connais depuis des années, certains me connaissent depuis mon entrée dans l'entreprise. Bientôt dix-huit ans. Que le temps file !

 

Graver dans les mémoires, laisser une trace, laisser quelque chose à ses enfants. Laisser un témoignage pour que d'autres ne s'abîment pas ou je me suis frottée, où j'ai laissé des plumes parfois jusqu'à ma santé. Ecrire pour laisser une trace, toujours écrire mais pas sous la même forme. Pour laisser une trace mais pas à tous. Un livre à compte d'auteurs comme l'avait fait H. une amie de lycée. Elle avait écrit un recueil de poèmes pour annoncer son homosexualité. Moi, ce serait plus une bibliographie de ma courte vie, je l'espère. Les histoires de rencontre. Pourquoi pas ? C'est un cousin de mon époux qui m'en a donné l'idée. Il a apporté en début de semaine, un ouvrage dont il est l'auteur. Il l'a écrit en se basant sur les mails envoyés à son épouse. Sa correspondance depuis le Soudan alors qu'il était en mission humanitaire. Moi, ce sera plus personnel mais sans tout dévoiler, pour expliquer la complexité des uns et des autres, des situations et pour partager les rencontres.Ppour éviter les jugements trop hâtifs à l'emporte pièce, pour mieux se faire comprendre. Y parviendrais-je ? Cela reste à prouver.

 

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29 juillet 2010 4 29 /07 /juillet /2010 21:00

Foulard à porter : la responsable scout nous a donné à tous les parents "coup de main", le foulard du groupe. Nous avons du le porter le jour du retour des enfants sur le quai de la gare, histoire que les parents responsables soient bien identifiés. Attention, on se doit de le porter correctement, chaque couleur à sa place. Le noeud aussi a son importance. Quand on débute, le noeud est rond. Pas question de sauter une étape. La chef veille.

 

Du camp scout, le plus jeune est revenu avec des étoiles plein les yeux. Pas d'émotions qui transparaissent. Heureux, un point c'est tout.

L'aîné lui est revenu plus grand encore, plus mature il me semble. Aujourd'hui pour la première fois à la plage, les deux ont rincé leurs pieds et les ont essuyé ensuite sans qu'on le leur demande ... Ouah, que se passe-t-il ? Serait-ce la vie austère du camp qui les a modifié à ce point ? 

  

Fatiguée de répéter, répéter encore et toujours.

 

Fatiguée de répéter aux enfants, "allez vous brosser les dents", "non, tu ne me coupes pas la parole, je parle, merci", "cherchez avant de demander".

Fatiguée de répéter au travail, répéter à ceux qui ne prennent aucune note, rappeler un travail à faire, un horaire à respecter pour une réunion. Répéter toujours. 

   

Fatiguée d' organiser, planifier, penser à tout, à la maison, à la place des enfants, vérifier les travaux, vérifier le travail des uns et des autres quand on le leur demande, vérifier que ce que l'on a demandé a été transmis correctement, compris et effectué. Fatiguée de toujours vérifier au travail et trop souvent vérifier à la maison un cartable, un agenda et les devoirs.  La patience a ses limites.

 

Fatiguée d'attendre. Un collègue ami et chef m'avait dit un jour qu'il ne supportait pas les retards en réunion. En effet, fils d'enfants séparés et ayant beaucoup trop souffert de cela car il attendait toujours l'un ou l'autre, il avait instauré une méthode dans son équipe qui marchait fort bien. Le dernier arrivé devait faire le compte-rendu de la réunion. Cette méthode est très efficace. Je crois que j'en userais en Septembre.

 

Fatiguée de recevoir des ordres fff de personnes plus jeunes que soi fff qui se croient en terrain conquis. ff ffatiguée de concilier les uns et les autres,  fff de faire le tampon entre l'un et l'une. pfffffffffffffff.

 

Hier soir, c'était quelque peu compliqué : à l'occasion d'un apéritif qui aurait pu se transformer en buffet dinatoire (tout y était) , j'en ai eu un bel exemple.

 

zzz La mère qui espère mettre les pieds sous la table car fatiguée chez elle de préparer pour tous. La fille qui aurait été ravie de rester mais son fils chouinait et il fallait aller le coucher, en bonne mère elle est rentrée. zzz Le gendre qui voulait absolument cuisiner sa côte de boeuf avant de repartir le lendemain. Le fils calme qui suivait le mouvement. zzz Le père au milieu de tout cela a concilié les uns et les autres. Avec politesse et mille excuses s'en est reparti avec son épouse et son fils rejoindre leur fille fatiguée d'assumer comme toute mère de deux enfants le quotidien et le travail. zzzzz

 

Cela aurait été si simple de les convaincre de rester plus longtemps. Enfin, il me semble ... Mais ce n'était pas si simple, n'est-ce pas ?

 

zzz zzz zzz zzzzz zzzzz zzzzz zzzzz zzzzz zzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz

 

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14 juillet 2010 3 14 /07 /juillet /2010 06:50

Ca y est, nous sommes dans nos nouveaux murs. Le déménagement fut long : de 7h30 à 17h avec une équipe de cinq déménageurs. Je ne croyais pas qu'il faudrait si longtemps. Il a plu toute la matinée, les objets devaient être bien protégés. A la fin de la journée, heureux mais fourbus, nous avons dormi d'un sommeil de plomb.

 

Maintenant, il faut déballer tranquillement en trouvant sa juste place à chaque chose et surtout trier si on ne veut pas être envahis. Ce serait dommage de ne pas profiter de cet espace. 

 

Il a hier soir fait les branchements téléphone, ordinateur et télévision. Quand à moi, ce matin, j'ai taillé un des deux arbustes laissés par les précédents propriétaires. Celui-ci faute d'avoir été arrosé avait de nombreuses branches sèches.

 

vue du balcon séjour

Si quelqu'un sait de quel arbuste il s'agit, je suis preneuse.

 

Ma tâche suivante sera de nettoyer les portes vitrées, d'essayer la machine à laver et de poser les stores pour que l'on ne se sente pas trop épiés. Nous devons trouver un miroir car pas facile de se raser ou de se maquiller hier avant de partir travailler.

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9 juillet 2010 5 09 /07 /juillet /2010 06:05

Quelques images qui nous avaient séduit lors de notre première visite. Ici dans la salle d'eau.

 

carreaux sde 2


Là, dans la salle de bain, moins chargé.

 

Morizet carreaux SDB

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8 juillet 2010 4 08 /07 /juillet /2010 06:02

Hier matin à 8h : livraison de l'appartement à fin travaux. C'est nickel. L'évier est posé. Cela n'a pas été une mince affaire. Cela a nécessité de tailler dans le plan de travail. Admirez le robinet rétractable afin de pouvoir ouvrir la fenêtre de la cuisine.


Evier 1

évier 2

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Quand à la peinture, elle est terminée. C'est si propre que je n'ose pas y toucher.

 

P1090101Ici c'est pour le plus jeune. Un mur bleu/gris et les autres blancs.

 

Pour l'aîné, comme il voulait du bleu marine mais que nous craignions un peu un mur trop foncé, nous avons opté pour ce bleu turquoise. En effet, nous sommes restés dans la gamme des bleus : sur le nuancier, la couleur la plus claire était celle-ci et la plus foncée c'était le bleu marine... C'est vrai que le bleu c'est bien pour les chambres car cela apaise. 

P1090108

Reste à masculiniser la chambre avec les rideaux. En tout cas, il va se croire sur les îles. Peut-être pourrons nous y rajouter les jolis adhésifs New York que la Mamynette lui avait acheté pour sa chambre à Carnac ? Je pense que ca serait chouette.

 

A force de passer tous les soirs là bas, quand je réfléchis à "chez moi" c'est à ce nouvel appartement auquel je pense et plus à l'autre. Logique, nous y emménageons très bientôt.

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4 juillet 2010 7 04 /07 /juillet /2010 07:05

Dormir  : enfin devenu possible depuis la baisse des températures.

Se doucher : plus besoin de prendre des douches froides ou trempouiller toutes les cinq heures dans de l'eau fraîche. Les températures sont redevenues respirables et le temps moins orageux.

 

Dortoir : Ca y est, nous les avons récupérés à Bois le Roi. Ils sont enchantés tous les deux. Les cours étaient de bonne qualité. Ils ont aimé les repas, sous forme de buffet. "Huit huiles différentes". L'aîné s'est bien entendu avec les autres. Son référend qui les surveillait dans les dortoirs était ravi d'avoir fait sa connaissance.

Le plus jeune n'avait qu'une seule observation négative : le niveau sonore pendant la boum. Ca lui "déchirait" les oreilles mais comme il est obéissant, il n'a pas osé le dire aux moniteurs. Les jeunes 7/11 ans étaient très encadrés.

A la fin du séjour, comme ils n'avaient pas terminé de dépenser leurs tickets que nous leur avions acheté le premier jour, ils se sont rués pour l'aîné sur les boissons Powerade, des paquets de Schtroumpfs et pour le second les sucettes Chupa chups. Un ticket équivaut à deux sucettes. En bon calculateur et économe, il a jugé que c'était le plus intéressant et donc n'a pris que des sucettes.

 

Déconvenue : je pars à la cave chercher les affaires de scouts de l'aîné et du second. Et quelle ne fut pas ma suprise de constater que le bac scout était mouillé, le sac de couchage trempé avec une odeur de moisi et le matelas alvéloé censé être confortable tout moucheté de moisissures. J'ai pris les photos et si courage, je ferais les courriers adéquats propriétaires et assurance. Sans doute la mauvaise isolation des caves et les fortes pluies des derniers jours en sont responsables ...

 

 

journal 2

 

Début : la responsable du groupe local de scouts m'a demandé de m'occuper du journal des scouts. J'ai réfléchi à deux fois. Trois parutions par an. Cela veut dire échanger de nombreux mails avec les jeunes responsables branche cadette (les louveteaux) et branche moyenne (les écalaireurs) plus les presque adultes. Cette responsable cherche remplacant alors elle a sollicité neuf "parents coups de main" comme elle les appelle. Me voilà donc "parent journaliste". Il faudra que je collecte les articles, corrige les fautes d'orthographe, en écrive quelques uns, envoie photos et articles au "parent pao" qui lui assemble le tout et enfin je devrais faire le publi-postage. A la fois, ca me plait beaucoup et à la fois, j'ai peur du temps à y consacrer et du jonglage avec le travail et le suivi des devoirs des enfants. J'ai accepté pour un an. La prochaine "Alouette" paraîtra en Octobre/Novembre.

 

Douceur de la housse de couette : c'est un tissu doux et confortable. J'ai mis la couette dans un carton.

 

Domotique : pour l'instant, nous n'en sommes pas là. Les chambres prennent fome. Les couches blanches sont terminées. Restent seulement les secondes couches de couleurs dans le salon et les chambres enfants. Dans la cuisine, nous avons transporté l'évier en céramique et le robinet. Notre ami plombier/peintre/carreleur va nous enlever l'évier actuel, agrandir le trou du plan de travail et placer le bel évier. J'en ai choisi un avec deux bacs, un grand de trente litres et un tout petit. Ensuite restera à poncer le plan de travail en bois. Hier nous sommes passés chez Ikéa prendre des idées et juste acheter l'huile pour bois pour entretenir le plan de travail. Nous irons avec les garçons un jour pour qu'ils voient. Pour l'instant, je sais quelle commode mettre dans notre chambre. On a beau dire mais leurs prix sont imbattables.


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1 juillet 2010 4 01 /07 /juillet /2010 20:42

Cartons : sur les conseils de ma belle-soeur, je commence ainsi. Je déménage dans dix jours. Faut accélérer la cadence. Hier soir, j'ai du en faire six ou sept. Ca y est, j'ai terminé la chambre des garçons. Il ne me reste que les vêtements, j'attends juste qu'ils soient revenus de leur stage de tennis et qu'ils soient repartis en camp scouts pour emballer ce qui reste d'habits.

 

Chaussures : ce soir, je m'attaque à mes boites à chaussurres. Ce n'est pas ce qui manque. J'en possède une trentaine. Faut dire, que lorsque j'en ramène une nouvelle paire, je me fais "crier" dessus en arrivant à la maison. Mercredi, je n'ai pas résisté devant une paire de trotter à brides, un peu de talon mais pas trop ; je n'aurais pas chaud dedans et je vais pouvoir avaler des kilomètres avec. C'est indispensable actuellement avec la marche jusqu'au tramway et mes dix minutes de marches du RER jusqu'au lieu de travail. Et aussi dans les nouveaux locaux ou je marche beaucoup sous peine de m'endormir. En faisant le tri, comme ma mère a le même pied que moi, je vais lui rapporter celles que pour x raisons, je ne porte pas ou si peu.

 

Climatisation : dans mon coin abrité du bruit et du passage, au travail, elle ne ne fonctionne pas bien. J'ai 27° alors que je suis censée être dans un immeuble neuf et donc climatisé. Des collègues eux sont obligés de la couper sous peine d'être frigorifiés. D'autres sont juste comme il faut mais doivent supporter le passage et le bruit qui va avec. Bref personne n'est à la même enseigne. Défaut de conception.

 

Confessionnal : demain après-midi, je suis conviée à un entretien particulier. Il s'agit d'un personne d'une société extérieure qui à partir de la liste des salariés de la direction informatique, fait des interviews. Cela pour mesurer les effets du déménagement. Mais pas seulement, il laisse les personnes s'exprimer. Certains m'ont rapporté que c'était comme chez un psy. Rien de plus normal puisqu'il s'agit d'un psychologue.


Cette personne nous a été présentée comme étant là pour nous écouter. Mais d'autres sources indiquent qu'elle a été imposée à la direction. En tout cas, c'est intéressant. Dans un premier temps, il a interrogé une liste de salariés. Ensuite, au fur et à mesure des entretiens, le psychologue décide d'en interroger d'autres. Si on le souhaite, on peut aller le voir de son plein gré.Il faut dire que dans mon département en l'espace de six mois, c'est la quatrième personne qui démissionne. Ca interroge forcément. Dans un second temps, nous serons tous invités à répondre à un questionnaire.

 

Communication : j'ai déjà eu un entretien il y a quelques années dans la même entreprise, un peu comme un audit pour savoir comment ca se passe de l'intérieur. C'est toujours enrichissant. En principe, cela donne lieu à des enseignements. A l'époque, c'était le manque de communication qui était ressorti. Un journal avait été crée par la suite, des réunions plus larges, les managers avaient été conviés à faire diffuser davantage l'information. Un cahier de doléances avait été ouvert où l'on pouvait s'exprimer de manière anonyme.

 

Confiture : je n'ai pas encore goûté celle que m'a rapporté mon frère : au kiwi. Ma mère m'en donne de nombreux pots, des énormes. Elle râle parce que je ne lui rapporte pas les petits pots qu'elle me donnait alors elle prend ce qu'elle a sous la main. En ce moment, j'ai droit à des bocaux qui contiennent l'équivalent de 4 pots classiques de "Bonne Maman". Mure, fraise, abricot, groseille/framboise, prune Saint Jean et rhubarbe.

 

P1080764

De plus, j'ai ordre à défaut de rapporter des pots vides, de conserver les couvercles. Alors consciencieusement, nous les stockons et deux fois par an rapportons le fruit de notre collecte à l'intéressée qui manifeste son contentement par un sourire mais vite suivi d'un grognement : "mais enfin, c'est pas si compliqué de stocker des pots ... "

 

Cave : Cela me fait penser qu'il va falloir dans les jours proches s'attaquer à elle. Les confitures y sont stockées. Mais aussi, des jeux car par manque de place, je les fais "tourner". Un lit qui n'a jamais été utilisé, il est encore emballé depuis le dernier déménagement. Des vêtements d'hiver auxquels je ne tiens pas beaucoup. Quelques serviettes de toilette usagées mais en bonne auvergnate, je ne jette pas tout dès fois qu'il y ait une inondation et qu'il faille éponger.. . Quand l'homme de la maison va débouler à la cave, je crains qu'il ne jette trop de choses. Faut que je descende avec lui et qu'on fasse le tri à deux.

 

Cuisine : ca y est, nous avons acheté l'évier et le robinet rétractable qui va bien pour que l'on puisse ouvrir la fenêtre facilement. Les plaques à induction : après réflexion, bien que le gaz soit une alternative possible dans le nouvel appartement, nous avons opté pour ces plaques. Celles-ci permettent de cuisiner comme au gaz, doucement. Quand à la batterie de cuisine, j'ai déjà un faitout et deux poêles qui marchent avec l'induction. Nous allons nous équiper davantage. Le four à pyrolyse aussi a été commandé. Reste à régler les histoires de placards et de carrelage de cuisine au mur. Celui existant a bu la graisse et il est impossible de les ravoir. A réfléchir dans un second temps.

 

Chaleur : comme nous sommes exposés aujourd'hui plein sud, il fait 29°/30° environ dans l'appartement en pleine journée. De plus comme il n'est pas traversant, il n'y a pas d'air. A cinq heures du matin, j'ai beau me lever, ouvrir grand la porte fenêtre, rien à faire, le thermomètre ne descend pas en dessous des 27°. La chaleur est entrée dans les murs. Demain est annoncé 34°. Je ne vais pas être très productive ...

 

Casquette : mon jeune frère m'avait beaucoup amusé lorsqu'il m'avait expliqué la conception de sa maison. On y arrivera côté nord, le salon sera plein sud mais il y aura des casquettes. Le premier étage sera fait de telle sorte qu'il avancera au dessus du rez de chaussée. Normalement, tout est pensé pour qu'en hiver le soleil moins haut puisse entrer loin dans le salon, et l'été en période d'ensoleillement maximum, le soleil ne puisse pas aller si loin et donc moins chauffer l'intérieur. J'ai hâte de voir cela en vrai.

 

Couple :  demain soir, nous nous retrouvons à quatre au restaurant. Un temps sans cartons et sans enfants. Eux, ils sont parents de quatre garcons et vont les abandonner le temps d'une soirée. Nous, nous allons oublier le scotch de déménagement et les piles de cartons dans la chambre et le salon.

 

Chocolat : pause chocolat, café ou eau fraîche. J'essaie de répondre par l'affirmative lorsqu'on me convie à la pause café. Longtemps, je n'y allais pas. Quelle bêtise. C'est toujours un moment de détente. Nécessaire voire indispensable. Pour arrêter de réfléchir, pour respirer un peu, pour changer d'air, pour recharger les batteries et être plus efficace ensuite. Bon allez, je vous laisse : un petit carreau de chocolat m'attend dans le placard de la cuisine.


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